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Accueillir les enfants orphelins à Madagascar

La volonté d’apporter plus de sécurité à des enfants défavorisés de Madagascar est l’acte fondateur de l’association Aïna, Enfance & Avenir.
La situation alarmante des enfants malgaches a été le déclic des fondatrices de l’association.
C’est toujours, ce contexte économique, sanitaire, éducatif et climatique difficile et fragile qui motive encore aujourd’hui les équipes salariées et bénévoles d’Aïna.
Pour cela, la mission première de l’association s’articule autour de la notion d’accueil. Il s’agit de prendre en charge, offrir un refuge et mettre en sécurité, les orphelins et les enfants des rues de Madagascar.

Le sourire de nos enfants reste une priorité
Le sourire de nos enfants reste une priorité
L’association accueille des enfants orphelins de père ou de mère que le juge des familles nous attribue. Aïna, Enfance & Avenir fait partie des structures identifiées par le ministère comme Centre d’urgence.
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Accueillir,
un premier acte d’urgence

Madagascar fait partie des pays les plus pauvres au monde. La vie dans la rue est le quotidien de nombreux enfants, livrés à eux-mêmes dans la capitale Antananarivo.

Les enfants des rues ou très défavorisés accueillis par Aïna, Enfance & Avenir, sont placés sur ordonnance du Juge des tutelles. Ils arrivent ainsi dans notre orphelinat, en réponse à un signalement des voisins, d’un membre de la famille ou d’un parent qui ne peut plus assurer la garde des enfants.

Redonner de l’espoir, redonner un sens à l’action est notre première mission.

À cette conjoncture économique et sociale précaire s’ajoutent des conditions météorologiques de plus en plus violentes.
La cinquième plus grande île de la planète est, par sa situation géographique, très exposée aux épisodes climatiques extrêmes et aux catastrophes naturelles.
Madagascar n’est pas épargnée et l’association sait aussi s’adapter pour être solidaire de tous les habitants.

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Accueillir,
un premier acte de solidarité

Dès sa création, l’association a fait appel à l’entraide, au don pour mettre à l’abri les enfants défavorisés et les orphelins. Ces dons et ces actions de parrainages sont indispensables pour accueillir les enfants des rues dans des conditions décentes, sécures et pérennes.

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Accueillir, c’est donner la priorité à l’action

Offrir un toit, un refuge, des repas et de l’attention dans la dignité oblige l’association Aïna, Enfance & Avenir et les bénévoles à s’engager, agir. L’accueil ne se limite pas à des intentions, aussi belles soient-elles.
Chaque étape de l’accueil des enfants, dans notre orphelinat ou nos écoles solidaires, nécessite la mise en place d’actions structurées.
L’implication des bénévoles, des équipes salariées sur place, garantit le déploiement d’actions de solidarité. Des actions multiples qui s’adaptent aux besoins des enfants en fonction de leur âge et de leur situation administrative.

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Accueillir, c’est faire des choix

L’association a axé ses actions autour de l’enfance défavorisée, des orphelins dans un premier temps au cœur de la capitale malgache. Même si l’association apporte un appui, une attention aux familles, aux mères des enfants scolarisés.
Accueillir les orphelins et donner un avenir aux enfants des rues reste la mission première.

Déménagement de la Maison des Ados pour  dans un premier appartement
Déménagement de la Maison des Ados pour dans un premier appartement

Accueillir, c’est s’engager sur le long terme

En promettant un avenir meilleur à des enfants, l’association Aïna, Enfance & Avenir fait le choix de s’investir sur le long terme. Les équipes d’Aïna sur place, les structures d’accueil deviennent un repère fiable et le suivi des enfants s’inscrit sur la durée.

La Maison des Ados
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Accueillir pour aller plus loin

Il ne suffit pas d’accueillir, de loger, de nourrir, les enfants défavorisés, mais bien d’accompagner ces jeunes orphelins et enfants des rues à devenir des adultes solides, autonomes, des citoyens malgaches. L’association les accueille jusqu’à leur majorité.

Le plus souvent, Aïna, Enfance & Avenir est devenue comme une deuxième famille et ils ont trouvé des frères et sœurs de cœur.
À ce premier pilier indispensable s’associe un deuxième tout aussi fort : éduquer.